… Chez Ovoclinic, nous répondons à toutes vos questions et nous vous conseillons le traitement le mieux adapté pour tomber enceinte, en vous apportant tout le soutien humain, médical et psychologique dont vous avez besoin tout au long du processus..
On entend par stérilité l’impossibilité pour un couple de procréer de façon naturelle après plus d’un an de relations sexuelles normales.
Rien qu’en Espagne, 600 000 couples en âge de procréer rencontrent des difficultés pour avoir des enfants. Selon l’Institut Européen de Fertilité, chaque année, dans notre pays, 16 000 nouveaux couples ont des difficultés à procréer et ont besoin de se rendre dans un centre spécialisé dans la procréation assistée, tel qu’Ovoclinic.
Par ailleurs, au cours des cinq dernières années, le nombre de femmes qui ont décidé d’affronter leur maternité sans partenaire masculin et qui ont eu besoin de l’aide d’un spécialiste en reproduction a été multiplié par quatre.
QUAND CONSULTER
Si vous avez moins de 35 ans, il est recommandé de consulter un spécialiste si vous n’avez pas réussi à tomber enceinte après un an de tentative. Si vous avez plus de 35 ans, il est conseillé d’effectuer un bilan de fertilité basique si vous n’avez pas réussi à tomber enceinte au bout de six mois.
Ce bilan est également conseillé après une période de six mois, quel que soit l’âge, chez les femmes présentant des facteurs de risque antérieurs, tels que l’endométriose, le syndrome des ovaires polykystiques, une opération de chirurgie gynécologique antérieure, un avortement spontané, …
En ce qui concerne le membre masculin du couple, il est conseillé de consulter si vous n’avez pas réussi à procréer après un an de relations sexuelles normales avec votre partenaire, ou au bout de six mois en cas de chirurgie antérieure de l’appareil génital, d’oreillons pendant l’enfance, de difficultés érectiles et en cas de pathologie concomitante comme l’obésité, l’hypertension et le diabète.
ÉTUDE DE la fertilité
L’examen basique est réalisé chez les couples qui, après la réalisation d’un historique clinique minutieux, ne présentent pas d’antécédents qui nous feraient soupçonner un facteur de risque déterminé susceptible de causer la stérilité, c’est-à-dire, chez les couples apparemment en bonne santé.
Pour la femme, l’examen comprend une échographie visant à évaluer sa réserve ovarienne (le nombre de follicules antraux que présentent les ovaires) et son utérus, écartant les malformations utérines ou les pathologies comme les myomes, l’adénomyose ou les polypes. En général, on demande également un dosage sanguin de l’hormone antimüllérienne pour compléter l’information sur la réserve ovarienne.
Un des paramètres les plus importants pour l’évaluation de la réserve ovarienne est l’âge, car il existe une relation inversement proportionnelle entre l’âge de la patiente, et le nombre et la qualité de ses ovules.
Pour le conjoint, l’examen inclut un spermogramme visant à évaluer la mobilité, la morphologie et le nombre de spermatozoïdes. Ce test nécessite que l’homme observe une période d’abstinence sexuelle de deux à trois jours et qu’il prélève l’échantillon en se masturbant dans les conditions de stérilité qui lui sont indiquées.
Occasionnellement, si la patiente présente certains antécédents ou après un échec de la technique de procréation assistée, il est nécessaire d’approfondir les examens. Ainsi, les examens suivants peuvent se révéler nécessaires :
- Hystéroscopie ;
- Échographie haute résolution ;
- Dépistage des thrombophilies ;
- Test immunologique ;
- Test de réceptivité endométriale ;
- Examen du microbiote endométrial ;
- Examen de l’endométrite chronique.
Un spermogramme normal en termes de quantité, de morphologie et de mobilité ne garantit pas que le sperme soit fertile. Il est parfois nécessaire d’approfondir les recherches du côté de l’homme avec des tests tels que :
- FISH de spermatozoïdes ;
- Halosperm pour détecter d’éventuelles fragmentations de l’ADN ;
- COMET pour détecter d’éventuelles fragmentations monocaténaires et bicaténaires.
AVORTEMENTS ET ÉCHECS D’IMPLANTATION
Les altérations de l’embryon sont à l’origine de plus de 50 % des cas d’avortement et d’échec d’implantation. Le transfert d’embryons présentant des chromosomes normaux augmente significativement le taux de grossesse, quel que soit l’âge, et réduit considérablement le risque d’avortement ultérieur.
Lorsque nous évaluons des patients présentant ces conditions, il est important d’essayer d’obtenir autant d’informations que possible sur l’ovule et le spermatozoïde, car ils contribuent tous les deux à la charge chromosomique de l’embryon.
Cependant, il existe d’autres causes pouvant affecter directement la mère et provoquer ces avortements ou échecs d’implantation. Les premiers examens à réaliser sont une évaluation approfondie de l’utérus et de l’endomètre, ainsi que des analyses spécifiques visant à exclure des altérations de la coagulation sanguine. Pour les cas plus complexes, il peut être nécessaire de recourir à des tests immunologiques ou à des examens plus poussés de l’endomètre.
Chez Ovoclinic, nous proposons à ces cas complexes un examen complet, menant dans la grande majorité des cas à un diagnostic et un traitement appropriés.
EXAMENS PSYCHOLOGIQUES
Anxieux, frustrés ou particulièrement impatients. Ces adjectifs pourraient traduire les sentiments de la plupart des couples qui se rendent dans une clinique de procréation assistée. La difficulté de concevoir un enfant est une situation inattendue qui peut entraîner une multitude de réactions, chacune impliquant des besoins différents. C’est pourquoi il est fondamental de réaliser une évaluation psychologique dès le début pour prendre conscience de la situation émotionnelle à partir de laquelle nous partons, des implications que peut avoir l’assimilation du problème, du traitement lui-même voire des résultats.
À travers différentes techniques d’évaluation, nous pouvons obtenir une vision claire à la fois de l’état émotionnel initial et des ressources personnelles et sociales des deux membres du couple, aspects qui seront primordiaux dans la programmation de l’intervention et/ou du soutien psychologique approprié à chaque cas.
C’est aussi un premier contact permettant de créer un environnement d’acceptation, de sécurité et de confiance. En effet, pouvoir compter sur un espace où l’on peut exprimer ses émotions, ses inquiétudes, développer des stratégies de défense et résoudre tous types de doutes est un point très important du traitement. Autrement dit, il faut pouvoir compter sur un soutien et un conseil constants tout au long du processus.